Un conflit n’est pas une fin !
C’est le début d’une nouvelle mélodie à composer.
Parfois, il suffit d’un espace neutre et bienveillant pour que les voix s’entendent et se répondent à nouveau.
Parfois, il suffit de sortir du passé, lâcher nos croyances vis-à-vis de l’autre et revenir au présent pour rencontrer nos réalités.
Adante Espace Médiation, c’est un temps suspendu pour déposer, écouter, comprendre… Et recomposer ensemble une harmonie familiale qui VOUS ressemble.
La médiation familiale, c’est quoi ?
Un espace pour accorder les liens
Dans chaque famille, il arrive que les voix se heurtent, que les mots manquent, que le rythme se brise.
Les relations interpersonnelles sont mouvantes et surtout, demandent et nécessitent toujours des ajustements, des nouvelles règles, de nouveaux repères. Toute la difficulté d’une vie réside dans le fait de parvenir à transformer ces blocages, à NOUS transformer pour ÉVOLUER.
La médiation familiale offre un espace pour poser les tensions, écouter ce qui se vit, restaurer la communication et composer ENSEMBLE une nouvelle manière d’être en relation. C’est écouter autrement, se comprendre à nouveau, traverser les tensions et les bouleversements pour retrouver une mélodie possible, même si elle change.
L’accompagnement que je vous propose va se vivre comme une partition à réécrire, un moment en dehors du tumulte, où chacun peut déposer son vécu, être entendu avec respect et contribuer à construire des solutions qui conviennent à tous.
Pourquoi venir en médiation ?
- Pour sortir d’un conflit qui s’installe, d’un silence lourd, d’incompréhensions persistantes.
- Pour traverser un changement de vie (un divorce ou une séparation, une maladie, un décès) en préservant les liens essentiels.
- Pour clarifier l’organisation familiale, apaiser les tensions et remettre de l’harmonie dans le quotidien.
- Pour retrouver une communication plus fluide, plus respectueuse, plus ajustée.
- Pour construire des accords durables, pensés ensemble, dans l’écoute des besoins de chacun.
Les fondements de la médiation, un engagement pour une réussite.
La médiation familiale est un processus volontaire, confidentiel et qui suspend les procédures en cours.
Le caractère volontaire est une notion essentielle en médiation. Il garantit que chaque personne participe librement, sans pression, sans contrainte et avec la possibilité de se retirer à tout moment. La médiation repose sur le dialogue, pas sur la contrainte. De ce fait, pour qu’un échange soit constructif, il faut que chacun puisse s’exprimer en confiance. Si l’une des parties se sent forcée, la parole se ferme et la médiation perd son sens. Elle repose également sur l’équilibre, car aucune médiation ne peut fonctionner si l’un prend toute la place et l’autre subit. Le caractère volontaire rappelle que chacun a une place égale et qu’il sera libre de participer ou de se retirer, libre de parler, de dire oui et de dire non. Elle repose aussi sur l’ambition de construire des accords durables et il est évident que des décisions prises sous pression tiennent rarement dans le temps. Lorsqu’on s’engage volontairement, les accords sont plus réfléchis, plus équilibrés et mieux respectés par la suite.
La confidentialité permet d’échanger des informations, en toute transparence, pour permettre au processus de progresser. Les informations partagées entre les parties ne pourront pas être « brandies » comme « pièces à conviction » si le conflit devait être porté en justice. Cette obligation de confidentialité impose également au médiateur une réserve quant à ses écrits : il n’est pas possible de faire un rapport ou un résumé de ce qui s’est passé en médiation, ni même de transmettre une quelconque information dans un courrier de fin de mission dans le cadre d’une désignation judiciaire. De plus, les informations communiquées dans un projet de convention, ne pourront être utilisés que lorsqu’elles seront signées par chacune des parties ET le médiateur.
La médiation familiale suspend les procédures en cours. En effet, la médiation est soit extrajudiciaire (lorsque les personnes en conflit y recourent spontanément) soit judiciaire (lorsqu’une procédure est introduite devant un Tribunal). Dans cette hypothèse, toutes les procédures relatives au conflit (ou ayant une incidence) devront être suspendues pour entreprendre et poursuivre le processus de médiation.
Quelles sont les situations pour lesquelles la médiation familiale peut être utile ?
Voici les principales situations dans lesquelles la médiation peut vous accompagner.
Séparation ou divorce
“Nous nous séparons… mais nous restons parents. Comment organiser l’avenir sans que tout devienne trop lourd, trop long, trop couteux ou trop conflictuel ?”
“Nous voulons divorcer… mais nous ne voulons pas qu’on « tranche » notre décision, nous voulons construire notre nouveau fonctionnement.”
Organisation de la coparentalité
“On veut que nos enfants sentent que nous restons une équipe, même si la vie nous emmène sur des chemins différents.”
Conflits parents–enfants ou avec un adolescent
“On ne se comprend plus. Les mots blessent, le dialogue se ferme. On aimerait retrouver un climat plus doux.”
Relations familiales fragilisées (fratries, grands-parents, familles recomposées…)
“Depuis un changement important dans la famille, chacun reste dans sa bulle. On voudrait renouer, mais on ne sait plus comment se parler.”
Fin de vie d’un parent, organisation de l’aide et des responsabilités
“Notre parent devient fragile. Comment s’organiser entre frères et sœurs pour aider sans se juger, sans s’épuiser, sans se disputer ?”
Questions d’héritage, succession ou partage de biens
“Le décès d’un proche fait ressurgir des tensions… On souhaite trouver des solutions justes, sans perdre nos liens.”
Familles recomposées : trouver une nouvelle harmonie
“Nous formons une famille recomposée. Comment faire en sorte que chacun trouve sa place, dans le respect du parcours de chacun ?”
Quand les choses ne vont pas mal… mais pourraient aller mieux
“Rien n’est catastrophique, mais tout est fragile. On voudrait clarifier, poser des repères, avant que les difficultés ne grandissent.”